A trop vouloir rêver on finit parfois la tête dans le sable.
Faute de vent, le rêve d’Icare s’achève par un vol planné lent et presque majestueux.
Sur la plage des salines, j’avais le choix entre les herbes folles, les vagues ou le sable pour poser mon gros oiseau.
Cette fois ce sera le sable !