Sortie du 19 février 2010

[dcs_p]Une fois n’est pas coutume, ma sortie dominicale a eu lieu ce samedi…[/dcs_p]

[dcs_p]Impératif familial oblige, je me suis tiré du lit non pas aujourd’hui, mais hier pour une bonne rando.
Le départ s’est fait sous une fine pluie qui a tenu bon jusqu’à l’arrivée.
Et pour ne rien arranger, le froid s’est invité dès l’arrivée dans la forêt de Marly.
Une configuration classique pour les sorties VTT dans l’Ouest Parisien.[/dcs_p] [dcs_p]Vacances, grisaille, froid et pluie ont fait fuir tous les vttistes, joggers, promeneurs et autres scoots. Du coup à part un Lapierre et deux joggers je n’ai vu personne ![/dcs_p]

Météo / Terrain

[dcs_rounded_box padding=”15px” bgcolor=”#330000″ rounded=”12″] [dcs_p]Grisaille, flotte, froid, boue…
Un bon 0° C sur la majeure partie du parcours. J’ai fait quelques pauses mais rapides histoire de ne pas trop me refroidir.
Pas moyen d’échapper à l’humidité. En hauteur ou au plus bas du circuit, la flotte était là avec son cortège de flaques de boue, d’ornières glissantes et de racines dérapantes.[/dcs_p] [/dcs_rounded_box]

GPS

[dcs_rounded_box padding=”15px” bgcolor=”#330000″ rounded=”12″] J’ai pas mal explorer cette fois encore les possibles variations sur mon circuit. J’ai prolongé une première boucle dans la forêt de St Germain et poussé dans les sentiers après le golf de St Germain.
Sur Mapsource j’avais repéré une possible descente du côté du Golf de Joyenval. Mais sur le terrain il s’est avéré que le sentier devenait impraticable au bout de 50 m.
J’ai tout de même insisté mais en vain et j’ai du ma taper un portage du vélo sur une ptain d’ascension.
Plus loin du côté de la Croix St Michel je n’ai pas résisté à l’envie de tester mon matériel dans une descente abrupte, techniques et cassante. J’ai été bien secoué et n’ai pas tenté d’avantage le diable sur un terrain inconnu et détrempé.
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Matériel

[dcs_rounded_box padding=”15px” bgcolor=”#330000″ rounded=”12″] La casse de la patte de dérailleur est oubliée.
Cependant, mon réglage du dérailleur doit encore être affiné.
Avec la pluie et la boue, mes freins m’ont obligé à anticiper d’avantage mes distances de freinage.
Mais la bonne surprise est venue du DHX 5 qui je pense est à peu près rôdé.
Un vrai bonheur sur les réceptions de saut ou les sentiers défoncés.

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