Musique
Grand corps malade
Au début de l’année 2006 j’ai découvert (ou on m’a fait découvrir) Grand corps malade. Un poète urbain, qui balance ses vers sous couvert d’un genre musical que l’on nomme slam.
C’est à cette même époque que j’ai découvert la ville de St Denis et son célèbre marché. Coincidence ? Non pas vraiment.
Toujours est il que j’ai parcouru en long et en large les titres de cet album pas tout à fait comme les autres.
Les paroles sont attachantes et souvent si proches de notre quotidien.
Alors forcément comme sur tous les albums que j’écoute il y a des titres que je me passe en boucle. “St Denis”, “Ca peut chémar”, “Chercheur de phases”, “Les voyages en train” et “Je dors sur mes deux oreilles” ont ponctués mes ballades et mes journées de travail.
J’ai énormément apprécié (et l’expression est faible) cette poésie originale qui démontre que du béton peut émerger de belles choses.
Des compositions ou la musique se fait discrète et laisse une place de choix à la voix de Grand Corps Malade.
Depuis l’artiste s’affiche dans les couloirs du métro, on le croise sur les plateaux télé, les élèves de collège et lycée s’essaient au style “Slam” écrivant et posant leurs textes sous l’oeil complice de leurs profs de français.
Si j’en parle seulement maintenant c’est sans doute parce qu’en cette fin d’année cet artiste sera mon artiste de l’année 2006.
C’est à cette même époque que j’ai découvert la ville de St Denis et son célèbre marché. Coincidence ? Non pas vraiment.
Toujours est il que j’ai parcouru en long et en large les titres de cet album pas tout à fait comme les autres.
Les paroles sont attachantes et souvent si proches de notre quotidien.
Alors forcément comme sur tous les albums que j’écoute il y a des titres que je me passe en boucle. “St Denis”, “Ca peut chémar”, “Chercheur de phases”, “Les voyages en train” et “Je dors sur mes deux oreilles” ont ponctués mes ballades et mes journées de travail.
J’ai énormément apprécié (et l’expression est faible) cette poésie originale qui démontre que du béton peut émerger de belles choses.
Des compositions ou la musique se fait discrète et laisse une place de choix à la voix de Grand Corps Malade.
Depuis l’artiste s’affiche dans les couloirs du métro, on le croise sur les plateaux télé, les élèves de collège et lycée s’essaient au style “Slam” écrivant et posant leurs textes sous l’oeil complice de leurs profs de français.
Si j’en parle seulement maintenant c’est sans doute parce qu’en cette fin d’année cet artiste sera mon artiste de l’année 2006.
En Guadeloupe aussi, il y a du slam : jettes un oeil sur http://www.slamblag.com
A bientot !
Merci à toi TiMalo de me le faire remarquer. Je viens de vous consacrer un rapide post.
Bonne continuation à vous.
Un sacré talent, c’est certains d’autres s’adonnent aussi (et sans doute depuis longtemps) à cette forme de poésie, mais grand corps malade a, selon moi, plusieurs atouts : celui d’avoir une voix audible, on comprend bien tous ses mots, et celui d’aborder des thèmes faciles, que bon nombre d’entre nous s’approprieront ; notamment celui de l’homme (pour nous les filles) qui nous confirme bien ce qui gouverne un homme, à savoir la tête, le coeur, les couilles .. ah ah … et le sacré bordel que cela engendre ! hi hi
Trève de plaisanterie, il est doué, je l’écoute et le réécoute, à chaque fois je perçois des mots, des significations différentes, tel un poème ou un livre qu’on lit plusieurs fois.
Sa poésie est vivante, vraie, imagée, moderne, simple, profonde. Du grand ART.